La vie nous sied de petits riens
(pastiche)
La lune jaunit sur ces visages minuscules,
Où dans chaque maison, une belle vie gesticule,
Les vantaux du jour refermés pour ensemble sourire,
Sur cette dame et cet homme partageant leurs loisirs.
Les louanges sont cachées, à deux, elles font leurs délices,
Pas de double salto, ni dans la chambre ni à l'office,
Absorbant tout le bonheur, essayant plusieurs danses,
Où d'un jeu commun gardant toute persévérance.
Cette liberté retrouvée à deux en miroir ne leur est pas inconnue,
Miss fragile cherchant à sa manière une chaleur impromptue,
Parfois se brulant les élytres en faisant des petits essais,
Bien debout sur ses pieds, animant la vie et la rendant plus gaie.
Cet estuaire de réjouissance est un bain en est la preuve,
Dans notre monde altéré pour une action toute neuve,
Pour encore se réjouir des défrichements en de savoureux bonjours,
Notre terre n'a pas de préséance, c'est l'envie de tous les jours.
(pastiche)
La lune jaunit sur ces visages minuscules,
Où dans chaque maison, une belle vie gesticule,
Les vantaux du jour refermés pour ensemble sourire,
Sur cette dame et cet homme partageant leurs loisirs.
Les louanges sont cachées, à deux, elles font leurs délices,
Pas de double salto, ni dans la chambre ni à l'office,
Absorbant tout le bonheur, essayant plusieurs danses,
Où d'un jeu commun gardant toute persévérance.
Cette liberté retrouvée à deux en miroir ne leur est pas inconnue,
Miss fragile cherchant à sa manière une chaleur impromptue,
Parfois se brulant les élytres en faisant des petits essais,
Bien debout sur ses pieds, animant la vie et la rendant plus gaie.
Cet estuaire de réjouissance est un bain en est la preuve,
Dans notre monde altéré pour une action toute neuve,
Pour encore se réjouir des défrichements en de savoureux bonjours,
Notre terre n'a pas de préséance, c'est l'envie de tous les jours.